Q : Quel est le jugement de la législation sur les règles du divorce conforme à la sunnah et les règles du divorce non conforme à la sunnah ?
R : Le divorce conforme à la sunnah est celui qui est prononcé une seule fois alors que la femme est soit enceinte soit dans un état de pureté dans lequel il n’a pas eu de relation sexuelle avec elle.
Alors que le divorce non conforme à la sunnah est celui où le mari
évangeliste sud africain raconte l'histoire de sa conversion
Sylie (traduit de l'arabe) est un évangéliste sud africain et un proche parent de l'ancien président Nelson Mandela , qui s'est converti à l'islam et qui raconte son étrange histoire de conversion écoutez le :
J'étais un Prêtre très actif, au service de l'église je ne ménageais aucun effort pour la servir en plus de cela j'étais un grand évangéliste en Afrique du Sud, le
Q : Est-il permis d’interpréter le rôle d’un Compagnon dans une pièce de théâtre ? Nous en avons arrêté une dans le but de connaître la vérité.
R : Les louanges appartiennent à Allah, Ses bénédictions sur Son Messager, sa famille et ses Compagnons.
Interpréter le rôle d’un ou des Compagnons est interdit, en raison de l’humiliation, du mépris et du fait de les exposer à la critique.
Même si l’on croit que cela peut être bénéfique, les méfaits que cela entraîne sont plus importants ; et toute chose dont les méfaits sont plus importants (que les bienfaits) est interdite.
Un décret émanant du Comité des Grands Savants interdisant cela a été publié.
Et les bénédictions d’Allah sont sur Son Messager, sa famille et ses Compagnons.
Q : Concernant le propos "L'exécutant et le patient à la fois, ont rompu le jeûne", tout d'abord est-il authentique ? Si oui, qu'est ce que cela veut dire ?
R : Ce Propos est authentique, l'imam Ahmed ainsi que d'autres l'ont authentifié.
Il signifie que le jeûneur, s'il venait à faire une saigné à quelqu'un d'autre aura rompu son jeûne, et si on lui faisait une saignée, il en sera de même. Les deux parties concernées par le Hijama sont le Hajim (l'exécutant) et le Mahjoum (le patient).
Le patient est celui sur lequel on retire du sang, et l'exécutant est celui qui effectue cette opération. Dans le cas où le jeûne est obligatoire, il est interdit à tout jeûneur d'avoir recours à cette pratique ; Celle-ci impliquant la rupture du jeûne, sauf en cas de force majeure. Dans le cas où son sang serait en ébullition, et que cela l'indispose, il n'y a pas d'inconvénient à se soigner par la saignée.
Or, ce jour en question lui étant redevable, il peut se permettre de s'alimenter le reste du jour. Toute personne pouvant se dispenser de jeûner, il lui est permis de manger le reste de la journée. Autrement dit, si ce jour en question lui est dispensé légitimement, il ne lui est pas astreint de se priver de manger conformément aux textes Sacrés.
Q : Quel est le regard de la religion sur les blagues ? Font-elles partie des paroles futiles, sachant que leur contenu ne se moque pas de la religion ?
R : Il n’y a pas de mal à se distraire par les paroles ou les blagues, à condition qu’elles soient véridiques et qu’on en n’abuse pas. En effet, le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, plaisantait avec les gens, mais ne disait que la vérité. Par contre, il n’est pas permis d’inventer des blagues, conformément au hadith du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui :
« Malheur à celui qui raconte des blagues mensongères pour faire rire les gens. Malheur à lui, malheur à lui ! »[1]
Et Allah est Celui Qui accorde le succès.
Fatwa du cheikh Ben Baz
Revue des Recherches Islamiques, n°27, page 87 et 88.
[1] Abû Dâwûd dans le chapitre du comportement (4990), At-Tirmidhî dans le chapitre de l’ascétisme (2315), An-Nassâ’î dans Al-Kubrâ (11126), (11655) avec une chaîne de rapporteurs Hassan.
L'équitable, celui qui est juste dans son jugement.
Allah est Al-Muqsit, Celui qui est le plus équitable et le plus juste. Il reconnaît et offre des récompenses au-delà de toute mesure pour tout bien, aussi petit soit-il. Il est Celui qui conduit l'humanité vers la justice et l'harmonie.
Mentions du Coran et des hadiths
De la racine q-s-t qui a les connotations arabes classiques suivantes : agir justement, équitablement éliminer l'injustice établir un équilibre équitable
Allah atteste, et aussi les Anges et les doués de science, qu'il n'y a point de divinité à part Lui, le Mainteneur de la justice. Point de divinité à part Lui, le Puissant, le Sage!(Quran 3:18)
Dis: «Mon Seigneur a commandé l'équité. Que votre prosternation soit exclusivement pour Lui. Et invoquez-Le, sincères dans votre culte. De même qu'Il vous a créés, vous retournerez à Lui». (Quran 7:29)
Entraînez-vous à défendre la justice et à faire les choses avec droiture. Vous rendrez compte à Allah, et il sera certainement satisfait :
O les croyants! Observez strictement la justice et soyez des témoins (véridiques) comme Allah l'ordonne, fût-ce contre vous-mêmes, contre vos père et mère ou proches parents. Qu'il s'agisse d'un riche ou d'un besogneux, Allah a priorité sur eux deux (et Il est plus connaisseur de leur intérêt que vous). Ne suivez donc pas les passions, afin de ne pas dévier de la justice. Si vous portez un faux témoignage ou si vous le refusez, [sachez qu'] Allah est Parfaitement Connaisseur de ce que vous faites. (Quran 4:135)
Q : Est-ce que lire à partir du livre du Coran est meilleur que la lecture par cœur ?
R : Concernant la lecture du Coran en dehors de la Salat, alors réciter à partir du livre du Coran est meilleur car cela est plus proche de la précision et de l’apprentissage sauf si la récitation par cœur est mieux préservée par son cœur et engendre plus de crainte, alors qu’il lise par cœur.
Mais pendant la prière, le mieux est de lire par cœur car s’il lit avec le livre du Coran alors cela entraînera des gestes répétitifs en portant livre du Coran, en le posant, en tournant les pages, en lisant les lettres…
Et par cela, il manquera le fait de poser sa main droite sur sa main gauche sur sa poitrine lorsqu’il sera debout, et peut-être qu’il ne sera pas à l’aise lors du rukoo’ et du soujoûd (prosternation) s’il pose le livre du Coran sous son aisselle. C’est pourquoi, nous avons jugé meilleur que le prieur récite par cœur au lieu de réciter à partir du livre du Coran.
Pourtant je vois des croyants qui prient derrière l’imâm en tenant un livre du Coran pour suivre la lecture avec lui, et ceci est une chose qui n’est pas permise car elle contient ce que nous avons mentionné précédemment, et parce qu’il n’en ont besoin unique