Allah est Al Haadi, Celui qui guide ses croyants. Ses conseils sont bénéfiques et les protègent de tout ce qui peut être nocif. Il est Celui qui a envoyé des prophètes comme porteurs de son message pour s'assurer que l'humanité est guidée sur le droit chemin.
Q : Quelle est la position de l’islam concernant le salut du drapeau dans l’armée, le respect voué aux officiers et le rasage de la barbe ?
R : Le salut du drapeau n’est pas permis ; plus encore, il constitue une innovation dans la religion, et à ce sujet le Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit :
« Celui qui apporte une innovation à notre religion, celle-ci lui sera certainement rejetée. »[1]
Q : « Actuellement, circule une carte VISA SAMBA délivrée par la banque as-Sacûdî al-Amirîkî. La valeur de cette carte est, quand elle est dorée, de 548 riyals et argentée, de 245 riyals, payés annuellement à la banque en tant que droits d’adhésion.
Avec cette carte, il est permis à celui qui la possède de retirer dans les banques et leurs annexes, la somme qu’il désire en tant que crédit et de régler la somme empruntée
Abu Musa a rapporté : Le Messager d'Allah, paix et bénédictions sur lui, a dit : « En vérité, Allah baisse les yeux au milieu de la nuit de Sha'ban et il pardonne à toutes ses créatures, à l'exception de l'idolâtre ou de celui qui nourrit la méchanceté. »
Question : Est-il nécessaire, pour celui qui a manifesté publiquement son Islam, de changer son ancien prénom, par exemple George, Joseph ou autre ?
Réponse : Il ne lui est pas imposé de changer de prénom, sauf s’il exprime l’adoration d’un autre qu’Allah. Mais le modifier est permis. Le fait qu’il améliore son prénom étranger par un prénom musulman, est une bonne chose, mais nullement obligatoire. Si son nom est Abdoul-Masîh (adorateur du Messie, Jésus) ou un nom du même genre parmi les noms évoquant une adoration d’un autre qu’Allah, il lui incombe alors de le changer. Car cela revêt, selon le consensus des savants, une forme de culte rendu à un autre qu’Allah, comme ce fut mentionné par Ibn Hazm – qu'Allah lui fasse miséricorde. C’est d’Allah que dépend notre réussite. Abdel-Aziz Ibn Baz 1 Recueil des fatwas d'Ibn Baz, t.1, p.235.
Q : Une personne qui boit de l'alcool, et ne peut s'empêcher de le faire pendant les nuits du mois de Ramadhan, que dire de son jeûne si l'on sait qu'il s'abstient de manger le jour, pour s'adonner à l'alcool la nuit ?
R : Boire de l'alcool constitue l'un des plus grands péchés, comme le Seigneur le formule :
« Ô les croyants! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, œuvre du Diable. Ecartez-vous en, afin que vous réussissiez. * Le Diable ne veut que jeter parmi vous, à travers le vin et le jeu de hasard, l'inimitié et la haine, et vous détourner d'invoquer Allah et de la Salâ. Allez-vous donc y mettre fin? »
(Sourate El Maida- versets 90 et 91)
Il n'est donc pas tolérable d'en boire quel que soit le moment de l'année (pendant le Ramadhan ou autre), même si cela est plus blâmable pendant le mois sacré en particulier. Toute personne s'y adonnant doit cesser de le faire en se repentant à Dieu, et en le regrettant fortement, conscient du tort que constitue un tel délit. Il doit aussi s'engager à ne plus reproduire une telle infamie, que ce soit pendant le Ramadhan ou tout au long de l'année.
Concernant le fait d'en boire durant la nuit, il demeure que son jeûne soit valable et valide s'il s'est
Q : Quelle est la règle concernant le fait de tricher pendant les examens, en sachant que je vois beaucoup d’étudiants le faire, mais quand je les conseille, ils me répondent : « Il n’y a rien de mal à ça » ?
R : La tricherie, que ce soit aux examens, dans les adorations ou dans le comportement, est interdite d’après la parole du Prophète, qu’Allah prie sur lui et le salue :
« Celui qui nous trompe n’est pas des nôtres. »1
En raison des nombreux préjudices qui en résultent dans la vie ici-bas et dans l’au-delà, c’est une obligation de s’en écarter et de recommander aux autres de ne pas le faire.
Celui qui entre dans la mosquée quand l’Imam est incliné
Fatawas Sheihk Bin Baz
Celui qui entre dans la mosquée quand l’Imam est incliné
Question: Si je suis arrivée à la prière en congrégation à la mosquée alors qu’ils sont en train de prier, en inclinaison, dois-je me joindre à eux en faisant le Takbir d’ouverture et le Takbir de l’inclinaison, et dois-je ou pas réciter l’invocation d’ouverture?
Réponse: Quand un musulman entre à la mosquée et que l’Imam est incliné, il est prescrit de les rejoindre, en prononçant deux Takbirs – le Takbir d’ouverture debout, puis le second Takbir pour l’inclinaison alors qu’il s’incline, mais il n’est pas licite à ce moment de réciter l’invocation d’ouverture, ni la sourate Al-Fatihah à cause du manque de temps.
Cette Rak'ah lui est comptée [(Nous ne savons pas qui réellement est l’auteur de cette note qui suit et qui nous parait contradictoire avec la fatawa : - Il a prié une Rak'ah seul derrière le rang, puis quand l’Imam a fait le Taslim, il a prié une cinquième (Rak'ah) - : « Ce jugement du respecté Shaykh n’est pas basé sur des preuves fortes, parce que la parole du Prophète (Salallahou ‘aleyhi wa salam) “La ta’oud”” a plusieurs significations possibles. Une signification est celle qu’a décrit le Shaykh: 'Mais ne la refaite pas.' La seconde possibilité est que ‘La ta’oud” signifie 'ne venez pas en courrant.' La troisième possibilité est que “La ta’oud” signifie 'ne comptez pas cette Rak'ah.' Et la quatrième possibilité est : “La ta’oud” signifie 'ne répétez pas la prière, votre prière est valide.' Le principe est: “ida ja-al ihtimalu batalal istidlalu” signifie 'quand il y a plus d’une possibilité alors il ne faut pas l’utiliser comme preuve.' Dont il n’est pas licite de prendre une des significations du mot comme raisonnement. Pour la même raison il n’est pas